Du boudin aux pommes philoutesque
Je vais certainement devoir consulter un psy !
Je m'explique après une régression jusqu'à l'enfance pour retrouver le goût de ces soucoupes volantes à la sussutrique, je me suis également souvenu qu'un de mes oncles raffolait d'un plat très simples qui consiste à poêler du boudin noir (au sang) avec des pommes et des rondelles d'oignon.
Je me souviens qu'enfant, j'étais dégoûté lorsque je le regardais manger "ça". Je n'ai jamais voulu en goûter car j'étais du style à dire j'aime pas avant de goûter.
Une fois adulte, j'en ai mangé une fois ou deux. J'avais trouvé ça bon mais pas particulièrement renversant.
Et hier soir, pourquoi pensai-je à cet oncle, je n'en sais rien, l'image de ce plat m'est revenue subitement et cela m'a chamboulé car je l'avais totalement occulté.
Vl'a ti pas qu'le Philou est bouleversé par du boudin aux pommes maintenant !!!
Quand je vous dis que je dois consulter. Mais avant d'aller donner mes sous au premier psy venu, je vais tenter de guérir le mal par le mal en vous présentant ma version du boudin aux pommes.
Je dois bien vous avouer que je me suis très librement inspirer pour la présentation de la sublime brochette margaridou de Régis Marcon.
Marché pour 4 personnes
Pour le consommé
1 kg d'oignons
5 cl d'huile d'arachide
1 litre de fond brun de volaille (maison)
7 cl de porto blanc
7 cl de pèkèt
100 gr de mirepoix de légumes divers
1 blanc d'oeuf
Peler les oignons et les couper en rondelles. Faire chauffer l'huile et mettre les oignons à suer et faire cuire jusqu'à ce qu'ils soient très colorés (! j'ai dit colorés pas noir, hein !).
Déglacer avec le porto blanc. Ajouter ensuite le fond brun de volaille. Assaisonner. Laisser cuire une demi heure. Passer le consommé au chinois très fin (garder 2 càs d'oignons et les réduire en purée). Faire refroidir afin de retirer l'huile qui se sera déposée en surface.
Il faut maintenant clarifier le consommé. Le remettre a chauffér, battre légèrement le blanc d'oeuf et le mélanger à la mirepoix. Verser dans le consommé très chaud (mais pas bouillant). Passer au chinois fin sans fouler, le blanc d'oeuf aura emprisonner les dernières impuretés.
Juste avant le service, il suffira de flamber le pèkèt chaud avant de le verser dans le consommé.
Pour la brochette
200 gr de boudin blanc
200 gr de boudin noir
1 pomme
20 gr de beurre
50 gr de beurre
50 gr de farine
10 cl du consommé
15 cl de crème fraîche
purée d'oignon
2 blancs d'oeufs légèrement battus
100 gr de panure
100 gr de bacon snacks réduits en poudre
Détailler les boudins en rondelles. Couper la pommes également en tranche et à l'aide d'un emporte pièce, les tailler du même diamêtre que les rondelles de boudin.
Embrocher les rondelles de boudins et de pommes en les intercalant. Dans une poêle, dorer les brochettes
Préparer l'appareil pour masquer les brochette :
Faire fondre le beurre et ajouter la farine. Laisser cuire jusqu'à l'obteniton d'un roux. Ajouter le consommé et la crème fraîche. Cuire 3 à 4 min. Ajouter la purée d'oignon.
Laisser légèrement refroidir et masquer les brochettes avec l'appareil. Laisser prendre au grand froid pendant 1/2 heure.
Pendant ce temps, batre les deux blancs d'oeufs dans un récipient. Réduire les bacon snacks en poudre grossière et les mélanger à la panure.
Sortir les brochettes du congélateur et les paner deux fois.
Mettre de l'huile d'arachide à chauffer et dorer les brochettes.
Dresser les brochettes au-dessus du consommé et garnir avec des tranches de pommes crues, des cubes de pommes cuites, des bacons snacs et un peu de poudre d'oignon séché.
J"espère que ce petit plat sans prétention me permettra d'exorciser l'image de ma jeunesse.
Oh mon Dieu, voilà que je pense à ma grand tante, je n'ose vous raconter ce qu'elle essayait de me faire avaler .... Beurk !
Je m'explique après une régression jusqu'à l'enfance pour retrouver le goût de ces soucoupes volantes à la sussutrique, je me suis également souvenu qu'un de mes oncles raffolait d'un plat très simples qui consiste à poêler du boudin noir (au sang) avec des pommes et des rondelles d'oignon.
Je me souviens qu'enfant, j'étais dégoûté lorsque je le regardais manger "ça". Je n'ai jamais voulu en goûter car j'étais du style à dire j'aime pas avant de goûter.
Une fois adulte, j'en ai mangé une fois ou deux. J'avais trouvé ça bon mais pas particulièrement renversant.
Et hier soir, pourquoi pensai-je à cet oncle, je n'en sais rien, l'image de ce plat m'est revenue subitement et cela m'a chamboulé car je l'avais totalement occulté.
Vl'a ti pas qu'le Philou est bouleversé par du boudin aux pommes maintenant !!!
Quand je vous dis que je dois consulter. Mais avant d'aller donner mes sous au premier psy venu, je vais tenter de guérir le mal par le mal en vous présentant ma version du boudin aux pommes.
Je dois bien vous avouer que je me suis très librement inspirer pour la présentation de la sublime brochette margaridou de Régis Marcon.
Brochettes aux deux boudins et aux pommes
Panure aux bacons snacks
Consommé d'oignons roussis flambé au pèkèt d'amon nos autes
Consommé d'oignons roussis flambé au pèkèt d'amon nos autes
Marché pour 4 personnes
Pour le consommé
1 kg d'oignons
5 cl d'huile d'arachide
1 litre de fond brun de volaille (maison)
7 cl de porto blanc
7 cl de pèkèt
100 gr de mirepoix de légumes divers
1 blanc d'oeuf
Peler les oignons et les couper en rondelles. Faire chauffer l'huile et mettre les oignons à suer et faire cuire jusqu'à ce qu'ils soient très colorés (! j'ai dit colorés pas noir, hein !).
Déglacer avec le porto blanc. Ajouter ensuite le fond brun de volaille. Assaisonner. Laisser cuire une demi heure. Passer le consommé au chinois très fin (garder 2 càs d'oignons et les réduire en purée). Faire refroidir afin de retirer l'huile qui se sera déposée en surface.
Il faut maintenant clarifier le consommé. Le remettre a chauffér, battre légèrement le blanc d'oeuf et le mélanger à la mirepoix. Verser dans le consommé très chaud (mais pas bouillant). Passer au chinois fin sans fouler, le blanc d'oeuf aura emprisonner les dernières impuretés.
Juste avant le service, il suffira de flamber le pèkèt chaud avant de le verser dans le consommé.
Pour la brochette
200 gr de boudin blanc
200 gr de boudin noir
1 pomme
20 gr de beurre
50 gr de beurre
50 gr de farine
10 cl du consommé
15 cl de crème fraîche
purée d'oignon
2 blancs d'oeufs légèrement battus
100 gr de panure
100 gr de bacon snacks réduits en poudre
Détailler les boudins en rondelles. Couper la pommes également en tranche et à l'aide d'un emporte pièce, les tailler du même diamêtre que les rondelles de boudin.
Embrocher les rondelles de boudins et de pommes en les intercalant. Dans une poêle, dorer les brochettes
Préparer l'appareil pour masquer les brochette :
Faire fondre le beurre et ajouter la farine. Laisser cuire jusqu'à l'obteniton d'un roux. Ajouter le consommé et la crème fraîche. Cuire 3 à 4 min. Ajouter la purée d'oignon.
Laisser légèrement refroidir et masquer les brochettes avec l'appareil. Laisser prendre au grand froid pendant 1/2 heure.
Pendant ce temps, batre les deux blancs d'oeufs dans un récipient. Réduire les bacon snacks en poudre grossière et les mélanger à la panure.
Sortir les brochettes du congélateur et les paner deux fois.
Mettre de l'huile d'arachide à chauffer et dorer les brochettes.
Dresser les brochettes au-dessus du consommé et garnir avec des tranches de pommes crues, des cubes de pommes cuites, des bacons snacs et un peu de poudre d'oignon séché.
J"espère que ce petit plat sans prétention me permettra d'exorciser l'image de ma jeunesse.
Oh mon Dieu, voilà que je pense à ma grand tante, je n'ose vous raconter ce qu'elle essayait de me faire avaler .... Beurk !